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J’aimerais décider mais ça se bouscule en moi. Je ne sais pas si c’est mon envie que je suis ou le désir de plaire ou même le devoir, sur le(s)quel(s) je me suis toujours construit. J’ai l’impression qu’il n’y a pas d’autre choix que celui-là et ça me rend triste. Je suis enthousiaste pour tout et je m’y perds. Je n’ai envie de rien. Je suis un(e) rebelle : je fais tout en décalé, poing levé et ça finit par me fatiguer. Vous aimeriez avoir des clés pour décider avec une plus grande sérénité ? Savoir quand vous êtes clairvoyants et quand vous risquez de vous égarer ? Cette conférence peut vous aider.
Retrouvez le replay de cette dernière conférence, avec François Bert, accompagné de Caroline Vène et Pierre-Xavier de Marliave.
Plusieurs thématiques reviennent dans notre programme sur mesure :
- Transformation de l’entreprise
- Information technology
- Ingénierie et systèmes
- La gestion des hommes
- Les processus opérationnels
- Les approches de management de projet
- Agilité & durabilité
Le sujet de la prise de décision est un sujet très sollicité dans les entreprises, notamment parce qu’il est en train de changer radicalement de configuration. Comment prendre une décision au bon niveau de l’entreprise pour augmenter l’agilité ? Comment aider nos dirigeants dans des prises de décisions plus stratégiques dans un environnement qui est de plus en plus changeant ?
« Celui qui finit toujours par gagner, c’est la réalité »
Les couches de la personnalité
Chacune des couches de personnalité est accompagnée d’un côté positif et d’un côté négatif. La première couche, le moral consiste à voir les choses positivement. C’est, en d’autres mots, la volonté : comment fait-on pour aller au bout de ce que l’on souhaite ? D’un autre côté, se trouve la velléité et notamment l’absence de volonté et le fait de ne jamais se donner les moyens défaire quelque chose. Ensuite, vient la couche psychologique qui est composée de deux côtés. D’une part, un côté positif, lié à l’identité sociale, la façon dont on est reçu dans un environnement que ce soit l’école, la famille ou même l’entreprise. D’autre part, un côté négatif, la blessure, qui apparaitre quand l’identité sociale sera bousculée, est une forme d’agitation qui va conditionner notre manière de faire.
Enfin, on retrouvera le fonctionnel, ce qu’on est avant toute chose, la posture naturelle, l’ADN, le talent. A l’opposé, la crampe, on est à contre-emploi, on essayera de faire des preuves sur ce que l’on n’est pas, tout le monde sentira qu’il y a quelque chose de non-naturel, tout simplement parce que l’on sera dans l’ordre de la preuve et non de l’évidence et de la démonstration calme de ce que l’on est.
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